On dit souvent, moi je me disais souvent, rouvre moi les portes de la zamboni, moi je continue à patiner.
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Patrice Brisebois
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Puis dans les séries, écoute, t’es le Vincent Damphousse qu’on connaît…
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Canadien viendrait de parapher une entente avec le défenseur Marc-André Bergeron, qui jusqu’à maintenant, jouait à NHL2010 dans son sous-sol. Aucun expert ne semble être en mesure d’expliquer pourquoi Bergeron, 28 ans et plein de points en banque, était toujours sans contrat. Nous, nous ne sommes pas experts, et on ne comprend pas plus.
N’empêche que Bergeron s’imposera sans doute avec aisance chez Canadien, qui a développé une expertise en matière de petits joueurs. Déjà, le vestiaire a été adapté et plusieurs tabourets sont disponibles afin que les chandails accrochés sur des cintres soient plus accessibles. Il faut quand même se poser la question : est-ce que Bergeron sera un Dykhuis, un Dandenault, un Traverse, ou bien un champion comme… euh… Patrice Brisebois ?
Mais surtout, il faut se demander ce qui arrivera dans quatre mois, quand Bergeron aura amassé 21 points en 23 matchs, comme il l’a déjà fait, que O’Byrne sera revenu au jeu, et que Markov sera prêt pour un retour ? Ne me dites pas que Canadien devra flusher un Hal Gill ou un Paul Mara achetés à si gros prix pendant l’été ? Un beau problème en perspective.
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P45 est bon pour nous ce matin avec un poème pour Brisebois, Jacques Demers en hologramme, et les pleurs du Breezer :
sons
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Un certain Boris Richard, avec son récent photo-roman ayant pour sujet la quête du Sportnographe visant à dénicher une tête de chevreuil pour son studio à Radio-Canada, nous a inspiré ce premier photo-roman de notre cru, signé Piquette au kodak et Meilleur-Aucoin dans un rôle de composition fou fou fou. Bon visionnement. Ah oui, merci (mettons) à NASCAR pour l’accréditation, la bouffe pis toute.
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Les facteurs de localisation d’un centre d’entraînement sont nombreux. On pense entre autres à la distance par rapport à l’amphithéâtre principal, au coût du terrain, à la facilité d’accès, et à la proximité d’un centre d’achat à ciel ouvert incluant une succursale de la SAQ (pour les gros buveurs). Rien n’a sans doute été laissé au hasard dans la décision de la direction de Canadien de s’installer dans un champ de Brossard, donc.
C’est pourquoi nous n’avons pas été surpris d’apprendre, par l’entremise de notre experte en météo, Josée Bossée, que le centre d’entraînement de Canadien se trouvait drette là où il fait le plus chaud à Montréal, et probablement dans le monde entier. Il s’agit certainement d’un choix conscient.
Canadien se doit d’apprendre à suer comme du monde. Ce n’est pas en faisant du jogging dans le parc du Mont-Royal qu’Andrei Kostitsyn apprendra à ne pas se pogner le beigne. Non, c’est en mettant ses bas de laine dans ses patins, au centre d’entraînement, à l’ombre de pas d’arbre, que le bon jus sortira de Canadien.
On n’a qu’à prendre exemple sur Patrice Brisebois qui a tenté de prouver à Robert Gainey qu’il était encore capable d’en donner. Oui, bon, ça a mal tourné un peu pour lui, mais en connaissez-vous-tu d’autres des joueurs de Canadien assez courageux pour se taper une surdose de sueur juste pour faire valoir leur point ? Bob, on veut Brisebois.